Un samedi soir au SOMO

Qu'y a t-il de plus sympa un samedi soir que d'être dans un débit de boisson certes mais haut en gamme, entouré de vos gens, à écouter votre musique, mmmmhh?

Des gens qui performent vocalement, micro en main, de divins DJ chauves ou à casquettes rouges? mmmmhhh? Voilà ce que vous avez raté si vous n'étiez pas au SOMO samedi soir avec Fabe, moi et toute une bande de iouf di nelsh :

La photo des 10 ans... qui fera mal dans 10 ans

Voici la photo à effet retard. Attention, les dégâts sont attendus pour 2016! (cliquez dessus pour l'agrandir)



Dernier rang (en quinconce)

Jonathan : "Jo", ailleurs on dirait petit et gros. A l'ASPM on dit râblé et puissant. C'est l'arrière droit bien droit, c'est Jo dont l'air farouche ne s'attendrit que pour l'amour de sa petite fille. (1-0)

Stephane : "Oustif", 1,90-105 Kg. Parfois plus. Grande stature, port altier, mine superbe. Un de ses genoux n'a pas résisté à une telle débauche de puissance mais il se remet vite de cette fâcheuse aventure. Son mariage prochain l'oblige cependant à plus de modestie : madame a commandé un costume deux tailles en dessous... En attendant, pour le match de la décennie il a joué 45 mn pleines, qu'on se le dise, le Oustif est de retour!

Yoni : "l'abeille", petit reunionnais, virevolte, pivote, tourne, se retourne et donne le tournis à tous les adversaires qui l'approchent. En délicatesse avec ses adducteurs il aurait tendance à perdre un peu de son coup de rein parait-il mais il reste largement de quoi donner la migraine à la moitié d'un stade.

Nasser : "Monsieur N", beau gosse, fringué nuit et jour comme un futur patron, a un souffle étonnant et un ventre à peine rebondi malgré des années de petits déjeuners copieux, restaurants tous les midis et autres laisser-aller scandaleux.

Christophe (à moitié caché): "Prési", teigneux qui réussit tout à force d'obstination. On veut pas, y veut! On croit pas, y croit! Et au final ça fait 30 bonshommes qui s'amusent comme des gosses pour fêter 10 ans de vie commune autour de SON idée. Mais ce macho devra tout de même se pencher sur la question du foot féminin : il a bien évidemment eu une petite fille! (2-0)

Stéphane : "El Padre", reste dans la lignée des grands stoppeurs de l'ASPM, ceux qui laissent passer ou le bonhomme, ou la balle, jamais les deux. On le soupçonne d'indulgence envers les mormons puisqu'en dix ans il a tenu une moyenne d'un enfant tous les 2,5 ans, 4 au total, n'en jetez plus. 1 garçon et ... 3 filles! (5-1)

Celdric : "Poumon", malgré son étrange prénom, s'est imposé comme un ailier titulaire indiscutable. Ses va-et-viens interminables à 310 km/h laissent la question de la drogue en suspens. Une chose est claire cependant, son penchant pour les alcools faciles, une bonne bière valant tous les whiskys du monde d'après lui.

Gérald : "VDB 2", cadet des VDB, est déjà une légende bleue, si peu de temps après son arrivée. Sa réputation le précédait, il est vrai. Il s'est engagé personnellement dans l'existence d'un véritable milieu de terrain à l'ASPM, l'histoire jugera. On ne croit pas un mot des histoires de cigarettes à rigoler qu'il taquinerait souvent et nous avons la certitude qu'il ne boit que de l'eau.

Cedric : "VDB 1" l'aîné, semble avoir raté de peu sa vocation de meneur d'hommes, stoppé irrégulièrement par ses consommations illicites. Mais il fait partie de ces rares sans qui une défense n'existe tout simplement pas.

Johann : "Joh", adieu le bob, le break nevada et le survet croco des débuts, aujourd'hui c'est en grosse berline et costard cravate que monsieur se promène. Et daron avec ca : deux gosses! Le temps de yéyés est bien fini. A l'intérim aux buts pour cause de cheville récalcitrante, il reste le plus capé des prétoriens et un des seuls préparer sérieusement la rélève à l'ASPM puisqu'il a fait le choix du roi : un garçon puis une fille qui a eu la sagesse de venir en deuxième, pour ne pas inquiéter. (6-2)

Agène (au dessus): "Agen", c'est du lourd. Du très lourd. Passé irréprochable, futur limpide, papa d'un petit héritier, fidèle à Madame et infatiguable sur le terrain. Même s'il a quitté le maillot au lion, il demeure une des légendes du val d'oise et continue de tourmenter les attaques quelque part dans le 9-3. (6-3)

Ricardo (en dessous, cravate rouge) : "Coach" cigare et cravate, il a fait son "taf" pendant de longues années avant que l'histoire en décide autrement. Supporter historique et premier sponsor de l'ASPM, il a hissé l'équipe à un standard de classe vestimentaire qu'elle peine à maintenir depuis son départ.

Christophe (caché par le verre): pigiste de luxe, son embonpoint trompe l'ennemi qui ne peut que constater la qualité des parades de ce remarquable gardien. L'âge et les responsabilités voudraient l'éloigner des terrains mais il résiste aux outrages. Sa vie est en bleu quand il veut.

John : orgueilleux et mystérieux petit aillier dont nous gardons un agréable souvenir, trop lointain et trop court hélas. Mais sa présence au match de la décennie rappelle ses qualités d'attachement et de fidélité.

Fabrice : "zabricot", ce défenseur à la santé fragile fut le seul a inviter des pompiers sur le stade pour cause de genou plié dans le mauvais sens. Bien qu'ayant toutes les qualités physiques d'une paupiette, il persiste à se blesser régulièrement afin d'être sûr qu'on ne le mette pas sur la feuille de match. Scandaleux.

Pierre : "Pierrot", père de famille (une fille) affable et débonnaire dans le civil, contribuable ponctuel, salarié méritant, cet homme devient le roi du vice balle au pied ou sifflet en bouche. Tout y passe : penaltys surprenants, crocs en jambe, poussettes coupables, et on en oublie... (7-3)

Steeve : "Speedy gonzales". Livré avec 12 poumons, fait rare, il commence au coup d'envoi une course qui ne se termine que 90 minutes plus tard, et même 105 minutes lorsqu'il continue de courir "pour rester chaud" pendant la mi-temps. Hélas, malgré plusieurs opérations la médecine n'est pas parvenue à lui retirer la casquette qui a poussé sur son front dès la tendre enfance, l'empêchant ainsi de voir le jeu au delà de la pointe de ses chaussures. Des remèdes sont à l'étude, nous gardons espoir.

Frederic : "Fredo", le génie des statistiques, dont la calculette se fatigue bien moins vite que les jambes. L'adversaire imprudent ou méprisant peut toutefois faire la désagréable rencontre de son coup de pied arrêté, digne de Fifa Soccer! Trois ravissantes petites filles ont divisé par trois son espérance de vie quand elles seront en âge "d'aller boire un verre avec des copines". (10-3)

Gerard : "Gégé", évidemment. Papa du puissant Frédo et Papi de trois petites filles, le ténébreux Gégé est également un supporter de la première heure dont les apparitions, comptées, sont d'un à propos remarquable.

Deuxième Rang

Frederic : "Warling", plus de 100 buts à son actif et pas rassasié. Après quelques années de parenthèses et une petite fille qu'il lui faudra défendre arme au poing dans 15 ans puisqu'elle a les yeux de son père, le Warlingator, qui revient finir le boulot à l'ASPM, a été très clair: ce sera 150 buts et rien de moins. (11-3)

Fabien : "El Lobo", il y a dix ans le surnom lui allait déjà. Il n'a rien lâché, à part mis la petite fille qu'il a eu, victime de l'épidémie qui a frappé les cellules reproductrices des mâles ASPMiens. Le genou blessé? De nombreux attaquants adverses se demandent encore d'où vient cette légende tant son jeu sans concessions leur a fait abandonner des lambeaux de peau par terre. Si ça saigne dans les lignes arrières, c'est sûr: El Lobe est dans le coup. (12-3)

Alexandre :"Zalex", un autre laboureur de surfaces. Et avec méthode. hargneux et sanguinaire, il réclame que l'on tue quand il ne peut le faire lui même. Quitte à payer un lourd tribu de temps en temps, qu'importe, un bon adversaire est un adversaire qui frappe du milieu de terrain de crainte d'être à nouveau "caressé" par le plus teigneux des arrières de l'ASPM.

Kadder : "Kadderniho", le coup de rein brésilien, la détente égale à sa taille, la vitesse, il ajoute à toutes les qualités d'un attaquant de pointe une fabuleuse descente... de bière, qualité contestable, certes. Lançé à la poursuite des records du Warlingator, on prie que le temps, les blessures et l'alcool le laissent achever son oeuvre.

Joseph : "Jo", encore un Jo, mais celui-ci est italien. Avec les qualités de leurs défauts et vice versa. Si son animation verbale des matchs lui vaut parfois des encouragements à se taire par ses coequipiers, il reste le véritable animateur des lignes médianes et un des seuls capables de donner du sens au mot "milieu" chez les bleus, un des seuls que son instinct ne pousse pas à se débarasser du ballon en criant "Kadder!!!"

Stéphane : "Steph", le classique mais efficace ailier gauche refuse de s'obliger à choisir entre les deux balles, de tennis et de foot, malgré les pressions, dont celle de ses responsabilités de papa... d'une petite fille! Tradition ASPM oblige. (13-3)

Gabriel : "Gab", supporter N°1, à condition qu'il ne pleuve pas trop quand même. Roulé en boule le long de la touche, le consultant observe, note, ne dis rien mais n'en pense pas moins. Et si une bouteille de champagne s'ouvre, il sera toujours là pour tendre un verre secourable.

Christian : "Christian", LE tenancier du bar à chaque tournoi estival. Un sens de l'organisation, un bras tatoué et robuste, un disque de Johnny complètent le tableau : voilà ce qu'il faut pour être un père de Président digne de ce nom.

Premier Rang

Vladan : "Vlad" et ses longues pattes ont souvent fait regretter à des défenseurs leur dribble un peu court. Aussitôt il saisit la balle et tourne, et tourne, et tourne... mais il garde à son actif certains des plus beaux buts de l'ASPM et ça, ça n'a pas de prix.

Yann : "Yannouz", figure du foot magnymontois, menacé par l'exil, toujours là quand d'autres le croyaient fini, Yannouz se gratte moins que naguère et est resté un des meilleurs dribble, une des plus fines gachettes de l'ouest. Et dites-vous que ce père d'un petit Enzo a dix ans de plus... (13-4)

Laurent : "El Tiburon", frère cadet d'"El lobo" et d'"El Padre", tient sa réputation comme un secret, mais partage volontiers ses pets. Copain comme coquin avec le whisky et le bacardi, cette force de la nature, bien qu'il aie offert ses deux genoux et son épaule au sport n'en demeure pas moins le plus redoutable combattant en bleu, devant les buts comme devant l'apéro.

Alphadio : "Alfindo", enfin convaincu au grand soulagement de l'équipe qu'il n'était pas fait pour les buts a abandonné sa place pour mettre ce qu'il lui reste de vitesse au service de la défense. Les 0-100 Km/h en 5s sont un lointain souvenir mais fort heureusement pour lui les attaquants adverses sont aimables et l'attendent de temps en temps.

Gauthier : "Gauthier", géant vert à la voix qui porte et au sens du théâtre. En match, il n'est pas rare qu'un coup reçu le laisse pour mort, après un hurlement rauque aux sonorités de fin du monde comme lui seul sait en produire. Mais la bête a le cuir corriace et celui qui l'empêchera de mixer sa techno le samedi soir n'est pas encore né.

Mickael :"Mickey", monsieur courage de l'ASPM qui prend pour venir chaque lundi soir, deux avions, un train, un bateau et fini la route en parachute. Jeune papa d'un... garçon (ouf!) il force l'admiration. (13-5)

Florian : "Le bonze", hérité d'un nom de famille et d'une sérénité à toute épreuve. Après de nombreuses années loin des terrains il a démontré Lundi qu'il lui en faudrait peu pour revenir au meilleur de sa forme.

Score final : 13 filles - 5 garçons...

Quelques absents de la photo decennale mais qui comptent pourtant :

Anthony : "Tony" est bien sur la photo mais comme d'habitude sa petite taille lui a joué un mauvais tour. Rapide et technique, le microscopique ailier gauche est pourtant probablement le plus vaillant demi-joueur l'histoire de l'ASPM. Un genou brisé par un malheureux "friendly fire" de Laurent l'a éloigné pour quelque temps des terrains, mais nul doute que son prochain retour sèmera à nouveau (demi)panique et (demi)effroi chez l'adversaire!

Nicolas : "Nico" est un grincheux. Mais un grincheux dont les petits ponts à répétition sont responsables de force écoeurement, démissions et licences déchirées chez nos adversaires qui en oublient parfois de jouer au football, occupés qu'ils sont à échapper au ridicule. Il a cependant la faiblesse de croire que parfois le football se joue aux poings, les tronches des adversaires servant de ballon dans ces circonstances! Ce petit défaut d'interprétation devrait dit-on se corriger avec l'âge. Souhaitons-le!

ASPM : 10 ans quand même !

Ce qui devait arriver arriva : l'ASPM a eu 10 ans.
A l'échelle de nos petites vies, 10 ans c'est souvent le tiers, voire plus. C'est donc un chiffre considérable, un peu d'éternité... Pour fêter ça Christophe, Président (avant Sarko, avant Ségo) a eu la riche idée d'organiser un match géant ou se sont rencontrés la plupart de ceux qui ont porté de un jour à dix ans le maillot bleu frappé du Lion de Saragosse !
En attendant le full compte rendu imagé comme il se doit, voici un petit aperçu de la buvette d'après Match :

Soirée au SOMO !

Mes chers gens,

Réservez votre soirée du samedi 25/11 pour le SOMO!! Vous allez pouvoir vous en battre les mamelles pour ces dames, les couilles pour ces messieurs, au sens littéral. Lorsqu'on danse, ces parties ont tendance à se déplacer suivant les lois de la physique... di iouf :



Genre vous êtes trop hype pour y aller sans savoir comment l'endroit est foutu? Pas de problème, papa vous livre la visite virtuelle ! Allez là!

C'est à partir de 22h au 168 rue Montmartre, métro Grands Boulevard pour les piétons, Parking à 200m pour ceux qui roulent en luxueux 4x4 di nelsh. Mais... on dirais bien que... mais oui, j'en ai un! Bif.

A mauvais client...

Notre métier nous met souvent aux prises avec des sociétés dont les dirigeants semblent loin de se douter de l'accueil qui sera fait à leurs demandes. Nul n'est besoin de sortir de l'entrejambe de jupiter (je n'ai jamais cru à l'histoire de la cuisse) pour comprendre que les mauvais risques ont des mauvais prix et les bons risques ont de bons prix. Ce principe est assez universel pourtant. La conséquence en est que plus les clients sont mauvais, plus ils discutent le tarif... et finiraient presque par nous rendre désagréables.
A un client qui, après avoir créé sa société depuis un mois à peine demandait à mon frère de lui faire une offre de financement d'un beau montant mais en restant "dans les prix du marché", je proposait sans succès (!) de répondre que "le marché Monsieur est comme votre cul, il se dilate pour les contrats de merde". A un autre dans une situation similaire qui demandait quelle était la profondeur du marché j'aurais volontier suggéré que : "la profondeur du marché se mesure de façon simple en introduisant une règle graduée par millimètres dans votre fondement. Cette méthode, pour empirique qu'elle soit est cependant tout à fait incontestable. "
Pour finir et dans la même journée, une autre victime revins vers nous suppliant presque que nous lui fassions une nouvelle offre, après avoir rejeté notre première proposition peu de temps auparavant, au motif que sa banque lui offrait mieux. Laquelle banque l'avait finalement éconduit. Pris de panique, son équipement déjà commandé mais sans moyens de le financer, il était prêt désormais à accepter tous les TEG du monde. Si ma bonne éducation ne me retenais, j'aurai fait comprendre à notre ami qu'il valait mieux qu'il s'enduise lui même de crème, vu qu'il ne nous restait que du sable... Sur ces bonnes paroles je retourne travailler.

The last overtaking

GP du Brésil 2006, à 3 tours de la fin, le Boss attaque Raikkö, pas pour la victoire, pas même pour un podium mais pour une modeste 4 ème place et le style jusqu'au dernier instant du dernier tour...

Cowboys ?

Simulation d'attaque sur un navire de la Bundeswerh, intimidation poussée sur une batterie de canon Française, des cowboys feraient t-ils leur apparition dans l'armée Israélienne?
Les dénis confus suivis d'excuses de l'état major puis du gouvernement ont du mal faire passer la pilulle à Berlin et à Paris, ce qui se comprend: on peut difficilement imaginer que les pilotes de l'Heyl Ha Avir ignorent que le Hezbollah, pour secrètement réarmé qu'il tente d'être, ne dispose ni de batteries de canon exposées en plein jour et peintes aux couleurs de la Finul et encore moins de Destroyer !
Les militaires Français furent à un instant de commettre l'irréparrable lorsqu'ils interprêtèrent le piqué des appareils Israéliens comme la préparation d'un bombardement. Que se serait-il passé s'ils avaient abattus les F15 Israéliens ou si les Allemands n'avaient pas cru jusqu'au dernier moment à une intox?
Les casques bleus Indiens et Finlandais tués pendant les opérations "officielles" au liban, en dépit du signalement clair de leur appartenance, ont probablement fait confiance jusqu'à l'ultime instant eux aussi. Si cette erreur peut être mise sur le compte de la confusion ou que le Hezbollah n'en était malheureusement pas à une fourberie près, donc que les pilotes étaient certains de bien agir en prenant le risque d'attaquer, comment expliquer les actes de ces derniers jours sinon par une fatigue morale de certains éléments conduisant à des actes irréfléchis et un risque d'escalade très grand?
De même, tenter de toucher ses ennemis en tirant au canon au beau millieu d'une population civile est déjà prendre une certaine liberté avec le risque d'erreur, les 18 civils Palestiniens tués à Beit Hanoun hier en ont fait les frais. Et le fait que le Hamas tire lui aussi vers les civils Israéliens ne peut pas être la justification d'une nation démocratique pour agir de même. Je suis inquiet.

Comme un voleur de poules

Le gibet! Voila le sort promis à Saddam après les remontrances d'usage "c'est pas joli joli ce que t'as fait là!" - dis en Arabe, croyez-moi, c'est assez impressionnant.

Donc l'ancien ami public N°1 a de quoi faire la gueule parce que c'est pas cool le gibet. Au delà du coté désagréable, c'est surtout, quand on a été un vrai dictateur, qu'on a arraché des couilles avec ses dents, brûlé des yeux avec sa clope et tout, l'impression que ca laisse d'être fini comme un petit voyou, finalement pas si méchant. Non, c'est vexant, presque humiliant. Imaginez-vous le prestige du peleton d'exécution et son dernier "vive moi!" déclamé avec toute la force de vos poumons d'ogre, ca, c'est la classe jusqu'au bout! Troquer ca contre une fin mussolinienne, et un gargouilli incompréhensible (crier "vive moi" avec la corde à l'oeuvre, c'est pas évident), c'est un coup à ce qu'on ne mette plus de majuscule à votre nom.

Reina Sofia 2

Voici le Palais des Arts et ses environs immédiats en version jour et avec mon appareil photo.

Ronaldininiosme

Petite video des copains à Deauville. Featuring Zoren (1st player), Mama (2nd), Junior (La balle) et Nono (voix off) :

Reina Sofia 1

Lundi 30/11, réveil à 6h. Trois réunions et un avion plus tard, alors que je fais mon Laurent en traversant la ville à pied jusqu'à mon hotel, soit deux bonnes heures de marche, je me retrouve soudain devant çà:

L'hallu totale pour un fan de buildings comme moi. Santiago Calatrava a jeté des voiles de béton dans le vide et édifié des arches puissantes mais majestueuses pour protéger l'âme du batiment qui abrite l'opéra de Valence. L'affaire terminée, il lui a donné le nom de "Reina Sofia", rien moins.

L'endroit a bien évidemment son Mug, que je me suis empressé d'aller chercher dès ma réunion du lendemain terminée. Petite déception à vrai dire. Ecrasé par la majesté du lieu, le Mug a du mal à se montrer à la hauteur et joue même petits bras, pour ne pas dire cheap. Mais comme bon sang ne saurait mentir, une parenté pareille méritait que je lui donne tout de même sa chance. Voici donc mon 151ème Mug dont ce blog n'est pourtant pas le sujet principal :