SOMO II pour ceux qui n'y étaient pas!
Le SOMO II a tenu toutes ses promesses: une assemblées de gens de fort bonne humeur qui ne s'est dispersée que passé 5h du mat et les caves de l'endroit sérieusement entamées.
Pas moins de 4 DJ's se sont succédés aux platines avec en Guest deux envoyés de la Balick Connection coachés par Maître Balick soi même et Fred avec sa House brésilienne, un régal.
Bien entendu Fabe n'a pas été en reste avec un son Electro comme on n'a pas d'autre choix que de les aimer!
Quelques photos de la soirée ici. (il en manque, je sais, je sais...)
La compil de la soirée (Set de Fabe uniquement) ici.
SOMO II : Samedi 17 février. Di nelsh.
Et ça c'est bon! Samedi 17 février l'équipe saignante des petits chtandos remet les platines à chauffer au SOMO! Entrée gratuite, sauf bien entendu pour les bifs mais, nouveauté en cette année 2007, non seulement il y a un dress code di iouf, le "Pink Style" mais en plus méga ouverture d'esprit di nelsh : les PIMP et les BLING-BLING sont acceptés. Mesdames, messieurs, faites vos jeux!
Le flyer officiel de la soirée :
Samedi 17 février 2007 - à partir de 22h - Entrée libre
SOMO bar
168, rue Montmartre 75002 Paris
Métro Grands Boulevards
Le site web officiel d'Electrolibres
Le flyer dissident :
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Soyez urbains, soyez responsables, refusez de cramer inutilement le bois de la planète, laissez-en pour vos enfants : n'imprimez pas cette adresse, recopiez-là sur le dos de votre main. Et lavez-vous la pogne avant d'arriver, on n'aime pas les mains sales!
De l'art de se mettre en danger
Samedi matin, 10h, j'entre au Starbuck Coffee, rue de l'Opéra. Je me saisis aussitôt du mug "collector Paris" enfin mis en vitrine et je me dirige vers la caisse pour commander un chocolat à emporter et régler le tout.Le caissier est une connaissance lointaine dont il me serait parfaitement inutile de peiner à retrouver le nom. Je choisis donc de ne pas le faire, mais un regard et un sourire qu'il me rend suffisent à se dire "on se connaît" et voilà. C'est toujours plus agréable d'être servi par un visage ami que d'entendre "14 Euros ,70 centimes" énoncé par une bouche professionnelle et froide pour soi.Je tends de quoi payer ma dette, m'attendant à quelques piécettes en retour des 15 € donnés, mais malgré ma distraction matinale je remarque que c'est plus de 10 € qui m'on été rendus par mon lointain ami. Dans un réflexe d'honnêteté hérité de cette sainte femme qu'est ma mère, je lui tends à nouveau ticket et monnaie, lui faisant remarquer qu'il m'a certainement trop rendu. Il récupère le tout, fait mine de contrôler à nouveau son écriture, me rend l'ensemble sans rien dire mais fermement et je perçoit comme la gêne de celui dont on refuse le cadeau. Je comprends donc que l'avoir reconnu me vaut une ristourne offerte avec l'argent de son patron et que mon insistance à être honnête est ici malvenue. Dernier acte, alors que j'ai récupéré ma boisson - chaude et onctueuse à souhait - et que je salue à la cantonnade avant de sortir il complète sans me regarder vraiment son aurevoir d'un doigt complice sur la bouche.Je n'ose imaginer ce qu'il adviendrait si un quelconque cheffaillon, a observé la scène, depuis le rendu de monnaie jusqu'au doigt avec lequel mon "ami" se dénonce tout seul. Si chacune des visites privées des employés coute un Mug à 11 € à la compagnie, certaines questions ne manqueront pas de se poser rapidement. Bref, il y a quand même de quoi se faire virer, pour un "cadeau" fait à quelqu'un qui ne se souvient même pas de votre prénom et ne pourra vous remercier, vu le contexte du don. Ou l'art de se mettre en danger gratuitement.