mardi, février 05, 2008

How to Dismantle an Atomic Bomb

Ceux qui me ressemblent et moi même avons une mauvaise tendance à considérer que notre bon goût est universel. Nous serons donc tous d’accord pour considérer que "How to dismantle an atomic bomb", dernier véritable album de U2, paru en 2004 - si loin - est d’une excellence rare. Le genre d’excellence qui oblige un infernal serial zappeur comme moi à le laisser passer d’un bout à l’autre sans oser la moindre pression sur le bouton fwd, tellement c’est bon.

Ce matin encore je l’écoute dans la voiture en me rendant à mon bureau. Je m’extrais de la bretelle d’autoroute et j’écrase franchement l’accélérateur pour échapper à un énorme camion qui n’a pas l’intention de ralentir pour ma pomme, "Sometimes you can make it on your own" acquiesce Bono, dans le #3. A part une petite faiblesse dans le #4 "Love and Peace or else" l’album vous fait le plein d’émotions jusqu’au paroxysme atteint en entrant dans la "City of blinding lights" (#5). Mais il ne vous abandonne pas après, non, il entretient votre bien-être jusqu’à sa fin. Mention spéciale à "Yahweh" (#11), à la fois cri et hymne à la tolérance, sans rien de galvaudé ni de déjà vu.

2 Comments:

Anonymous Anonyme said...

kel gros pd ce alfa!!!

Encore en train de sucer des galets?

6/2/08 05:10  
Blogger WeblogAlpha said...

Mdr :-))))))

6/2/08 10:33  

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